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Résumé : Trop belle, trop légère, trop riche Rosemary ! Quel désespoir secret a conduit au suicide cette femme environnée d'admirateurs et d'amants, volant de cocktails en parties de bridge et de dîners en bals, sous l'oeil résigné de George, son mari plus âgé ? Nul ne le sait. Mais la question commence à se poser différemment le jour où ce dernier est informé par des lettres anonymes qu'on a assassiné son épouse. Cependant, le lecteur découvre, une à une, les raisons qui auraient pu pousser diverses personnes de l'entourage de Rosemary à vouloir se débarrasser d'elle. Toutes se trouvaient là le soir tragique où elle a bu une coupe de champagne additionnée de cyanure. Un nouveau dîner rassemblant les mêmes convives permettra-t-il, comme George l'espère, de confondre le coupable ? Peut-être... A condition qu'une nouvelle mort ne vienne pas compliquer l'affaire.

Ma critique : Livre lu dans le cadre du challenge A taaable et comme d'habitude avec Agatha Christie, on nous sert un très bon roman. Un début plutôt tranquille avec une présentation des personnages et ensuite on passe à l'enquête avec les différents interrogatoires mais cette fois, oubliez Hercule Poirot car il est au abonné absent. Ce sont le commissaire Kemp et Race qui mènent l'enquête. C'est le seul petit point négatif du livre. Sinon l'enquête est bien mené et on cherche et réfléchi afin de trouver le meurtrier. C'est très prenant et les pages défilent à une vitesse folle. Bref, un excellent roman policier sans chichis mais absolument génial.


 
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Résumé : Tous les pensionnaires de l’asile, de dangereux criminels, avaient brusquement disparu sans laisser de trace. La police ne les avait jamais retrouvés. Comment aurait-on pu imaginer, ne serait qu’une seconde, qu’ils s’étaient réfugiés à l’intérieur des murs de l’asile. Il n’y a que les fous pour croire sérieusement à l’efficacité de la magie noire. Et les fous furieux pour s’en servir.

Ma critique : Lu en deux jours, j’ai été directement emporté dans l’histoire. Comme d’habitude avec Graham Masterton l’histoire ne s’essouffle pas un seul instant et c’est gore. J’ai parfois eu le frisson à lire certains passages un peu trop détaillés. Malgré cela, j’aurai imaginé l’histoire un peu autrement suivant le résumé. Mais ca n’est qu’un petit détail. Cela n’enléve rien à la qualité du roman. A réserver uniquement pour les amateurs de frissons et de gore. Les autres risqueraient de ne pas y trouver leur compte.



 
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RésuméPasser une semaine dans une maison réputée hanté depuis trente ans : Telle est la mission confiée au Dr Barrett et à une équipe de spirites par un milliardaire mourant, qui veut savoir si son âme lui survivra. Mission que le parapsychologue s’empresse d’accepter, espérant bien ainsi triompher des "maléfices" et vérifier ses théories scientifiques sur l’existence d’une vie après la mort. Arrivés sur place, les investigateurs se rendent vite compte que le lieu est à la hauteur de sa réputation : résonnant des crimes et des orgies qu’elle a accueillis par le passé, la maison Belasco semble les attendre. Prête à posséder les audacieux qui oseront pénétrer en son sein…

Ma critique : J’ai lu ce livre dans le cadre d’une lecture commune organisée sur le forum de la littérature fantastique et par la même occasion j’en ai profité pour diminuer ma PAL qui augmente toutes les semaines un peu plus. Dès les premières pages, l’auteur nous plonge dans l’univers sordide de la maison Belasco, présentation des personnages. Ensuite malheureusement j’ai trouvé que l’histoire s’essoufflait un peu. Les chapitres sont découpés en journée et j’ai eu l’impression que chaque jour se ressemblait et que dans chaque chapitre je lisais les mêmes choses. Par moment, l’auteur parvenait tout de même à nous sortir un peu de cette routine de lecture pendant quelques pages et l’on reprenait de plus belle. J’ai donc mis pas mal de temps à le finir. Malgré ces longueurs, le livre n’est pas très gros et la fin vaut la peine. Un bon livre mais je ne m’y replongerais pas volontiers.


 
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Résumé : Charlie McLean est un critique gastronomique qui passe sa vie sur la route. Il décide un jour d'emmener son fils dans un de ses périples pour renouer des liens avec lui. Un restaurant français qui ne figure dans aucun guide culinaire attire alors sa curiosité. Mais cet endroit est en fait l'antre d'une secte anthropophage qui enlève son fils. Pour le sauver, Charlie devra intégrer l'organisation et se soumettre aux rituels insoutenables qu'exige l'intronisation.

Ma critique : Un tout bon Masterton qui se lit vite, trop vite. Une fois commencé difficile de lâcher le bouquin. A chaque page de nouvelles choses. Certains passages de description des repas sont difficiles à lire tellement cela paraît réel. L'on va de rebondissements en rebondissements à chaque page tournée et l'on termine sur une faim bien amenée mais un peu trop vite bâclée. Il reste un excellent bouquin pour les amateurs du genre.


 
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Résumé : Martin Williams, un scénariste, fait l'acquisition d'un miroir ayant appartenu à Boofuls, enfant-star d'Hollywood, assasiné en 1939 dans des circonstances aussi tragiques que mystérieuses. Les miroirs, c'est bien connu, peuvent être des portes sur d'autres mondes. Celui-là est une porte sur l'enfer, sur un "Hollywood à l'envers" où, sous ses dehors de petit garçon angélique, Boofuls va se révéler la plus diabolique des créatures.

Ma critique : Le début a été difficile car il faut attendre quelques pages avant d'avoir un peu d'action mais une fois en place tout s'enchaine et là on ne peut plus s'arrêter. On est parti pour un dédale de rebondissements, de passages gores... bref tout ce qui fait le charme de cet auteur. Pour les amateurs de littérature fantastique-horreur je ne peux que vous le conseillez.


 
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Résumé : En s'avancant vers la victime - la 4ème en quelques jours à peine-, l'inspecteur Crosby comprend aussitôt que le tueur qu'il traque vient une fois de plus d'accomplir son oeuvre macabre. Qui est ce déséquilibré, qui semble s'ingénier à imiter les crimes commis par Jack l'Eventreur au XIXe siècle ? Et comment identifier celui qui n'est qu'une ombre dans la nuit, vêtue d'une redingote et d'un chapeau haut de forme ? Se pourrait-il, comme le titrent les médias qu'il s'agisse du fantôme du célèbre assassin, ressucité d'entre les morts pour venir hanter le quartier de Wall Street, désert de nuit ?

Ma critique : Il s'agit là du 3ème volume de la série Krewe of hunters et je me suis rendu compte pendant ma lecture que je n'avais pas lu le 2ème. Je ne pense pas que cela aura une quelconque importance vu que chaque enquête sont indépendantes l'un de l'autre. Comme pour le 1er tome, je n'ai pas été décu bien au contraire, j'ai été bien plus emballé malgré un début un peu long mais une fois lancée l'enquête se déroule à une vitesse folle. On retrouve le même groupe de personnage que dans le premier volume. Un point positif dans ce bouquin et bien ce sont les meurtres bien plus sanglants ainsi que plus de fantastique (même parfois un peu trop exagéré) mais cela n'enlève rien à l'intrigue qui est rudement bien menée et jusqu'au bout on se demande qui est le meurtrier. Bref, une très bonne lecture, agréable et totalement emballante. J'ai hâte de lire le volume 2.


 
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Résumé : 1960: Enfant triste et rêveur, entre un père disparu et une mère en proie à des soucis d'argent, Bobby fait la connaissance d'un étrange voisin, qui se dit traqué par de mystérieuses crapules en manteau jaune. 1966: A l'université, Pete mène joyeuse vie entre la musique, la contestation et les parties de cartes, sur fond de guerre du vietnam. 1983: Willie, vétéran de la guerre, gagne sa vie en jouant les aveugles, une cécité qui est aussi une forme de provocation. Des destins différents qui se croient autour d'une femme, Carol. Tous l'ont aimée. Bobby la retrouvera. L'Atlantide? C'est l'Amérique de leur jeunesse, au long de ces sixties devenues légendaires mais qui, nous rappelle l'auteur, ont bel et bien existé...

Ma Critique : Eh bien voilà un Stephen King qui m'a plutôt ennuyé, je dirai même plus emmerdé. Les différentes histoires sont plutôt fades et plates. Rien de bien palpitant pour ma part. Les personnages, eux, sont plutôt attachants mais ca s'arrête là. J'ai mis une plombe à le lire et j'ai vraiment mordu sur ma chique pour le finir. Vraiment une grosse déception pour moi. Peut-être qu'une relecture dans quelques temps me réconciliera avec le livre.


 
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Résumé : Echoué sur une plage peuplée de monstres, gravement blessé, Roland de Gilead se retrouve face aux trois portes qui jalonnent sa route vers la Tour Sombre, son but ultime. Par elles, il parcourera l'espace-temps, rencontrera trois compagnons insolites et reverra Jack, cet enfant dont le souvenir le hante et qui semble nécessaire à sa quête. Alors que le temps devenu fou joue contre lui et les siens, le Pistoléro saura-t-il démasquer ses noirs ennemis, magiciens et démons ligués pour s'emparer de la Tour? Est-il prêt pour cela à partager son idéal en s'en remettant au KA - le destin? C'est pour lui l'heure de vérité...

Ma critique : 2ème tome de la grande saga de la Tour Sombre qui m'a encore plus conquis par rapport au 1er tome que j'avais déjà trouvé bon. Dans ce tome, on sent que l'on rentre vraiment dans la quête de la Tour, il y a des l'action, du suspense tout est tellement bien décrit que l'on s'y croirait presque. Et puis, il y a les rencontres de Roland avec ses futurs compagnons de route tous aussi burlesques les uns que les autres. Bref, on n'a qu'une hâte en refermant le bouquin... C'est de sauter sur le tome suivant...


 
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Résumé : Le Maine, 1970, Ben Mears revien à Salem, s'installer à Marsten House, inhabitée depuis la mort tragique de ses propriétaires, vingt-ans auparavant. Mais trés vite, il se rend à l'évidence : Il se passe des choses étranges dans cette petite bourgade. Un chien est immolé, un enfant disparaît et l'horreur s'infiltre, s'étend, se répand, aussi inéluctable que la nuit qui descend sur Salem...

Ma critique : Un mot pour définir ce livre : TERRIFIANT. Certes Stephen King n'innove pas dans ce livre qui traite de vampires et de maison hantée mais c'est encore une fois cette manière qu'il a de décrire chaque personnage, chaque instants qui fait que l'on frissonne du début à la fin. D'un côté on veut lâcher le bouquin tellement l'on a peur et d'un autre on veut absolument connaître la suite et l'on continue à lire.


 
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Résumé : Neuf heures cinq. L'écureuil cavale sur la pelouse. Dans la salle 16, Mme Underwood donne son cours d'algèbre... "Si l'on augmente le nombre de variables, les axiomes eux-mêmes restent valides...". L'interphone crache alors une giclée de mots-requins. Charles Decker est convoqué chez le directeur... Neuf heures vingt. Après un entretien destroy, Charly met le feu aux vestiaires. Dans les marais puants de son subconscient, son dinosaure personnel patauge avec rage. Charlie ouvre la porte de sa classe, tire sur son prof, qui s'effondre. Exit. Tuée sur le coup. Charly se sent merveilleusement bien. Il est allé jusqu'au bout... Neuf heures cinquante. Océan de silence dans la classe prise en otage. Charly se prépare pour le sprint final. Psychodrame et lavage de cerveau. Tout le monde va passer à la moulinette...

Ma critique : Plutôt que d'appeler cela un roman, j’appellerai plutôt ca une nouvelle relatant le "quotidien" de la vie estudiantine américaine. Elève qui pète les plombs et tire sur tout ce qui bouge (comme on lit souvent dans la presse), à la petite différence que dans ce bouquin, plutôt que de tirer il oblige les otages à révéler ce qu'ils ont au plus profond de leur subconscient et c'est là que ca devient intéressant et que le bouquin prend toute son ampleur... car plus personne ne ressortira le même de cette aventure. Très bon King qui se lit très facilement et pour lequel on veut absolument connaître le dénouement final.