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Résumé : Avec son sourire carnassier et ses costumes chics, Patrick Bateman est l'incarnation du Golden Boy new-yorkais. Mais, à la nuit tombante, il laisse libre cours à sa démence. En bon sérial ciller, Patrick viole, torture et tue. Dans un monde lisse de tout sentiment, jusqu'ou l'horreur peut-elle aller ?

Ma critique : Voilà un livre qu'il me tardait de lire déjà de part son titre qui m'a directement interpellé mais aussi suite aux différentes critiques positives mais surtout négatives que j'ai pu lire sur le net. C'est avec pas mal d'appréhension et d'excitation que j'ai entamé cette lecture. Le début est plutôt calme mais je me suis malgré tout laissé embarquer dans l'histoire. Je regrette tout de même la citation tous les trois mots de marques vestimentaires ou autres qui à la longue devient pénible. Les meurtres sont quant à eux plutôt très bien détaillés mais un peu trop absents à mon goût. Et c'est là que je suis décu car après avoir lu bons nombres de critiques dans lesquelles les gens trouvaient les meurtres trashs et difficile à lire, je m'attendais vraiment à quelque chose qui me retourne et me laisse pantois mais il n'en est rien. Certes, c'est gore et dégueulasse et Monsieur Bateman est vraiment cruel y a pas à dire mais je reste malgré tout sur ma faim car j'attendais ces scènes de meurtres qui n'arrivaient qu'au compte goutte. Enfin, malgré cela j'ai pris un réel plaisir à lire ce livre mais je m'attendais à autre chose quand même. 

 
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Résumé : Neuf heures cinq. L'écureuil cavale sur la pelouse. Dans la salle 16, Mme Underwood donne son cours d'algèbre... "Si l'on augmente le nombre de variables, les axiomes eux-mêmes restent valides...". L'interphone crache alors une giclée de mots-requins. Charles Decker est convoqué chez le directeur... Neuf heures vingt. Après un entretien destroy, Charly met le feu aux vestiaires. Dans les marais puants de son subconscient, son dinosaure personnel patauge avec rage. Charlie ouvre la porte de sa classe, tire sur son prof, qui s'effondre. Exit. Tuée sur le coup. Charly se sent merveilleusement bien. Il est allé jusqu'au bout... Neuf heures cinquante. Océan de silence dans la classe prise en otage. Charly se prépare pour le sprint final. Psychodrame et lavage de cerveau. Tout le monde va passer à la moulinette...

Ma critique : Plutôt que d'appeler cela un roman, j’appellerai plutôt ca une nouvelle relatant le "quotidien" de la vie estudiantine américaine. Elève qui pète les plombs et tire sur tout ce qui bouge (comme on lit souvent dans la presse), à la petite différence que dans ce bouquin, plutôt que de tirer il oblige les otages à révéler ce qu'ils ont au plus profond de leur subconscient et c'est là que ca devient intéressant et que le bouquin prend toute son ampleur... car plus personne ne ressortira le même de cette aventure. Très bon King qui se lit très facilement et pour lequel on veut absolument connaître le dénouement final.